POUR MIEUX COMPRENDRE NOTRE TERMINOLOGIE
A
Accent : signe graphique qui, placé sur une voyelle, la définit.
Accolade : signe à double courbure servant à réunir plusieurs lignes (accolade verticale) ou colonne (accolade horizontale).
Acéré : trait final se terminant en pointe aiguë.
Acte authentique : document établi dans les formes requises par un officier public (notaire par exemple) dont les affirmations font foi.
Adjonction : en expertise de documents, interlinéation, ajout surcharge.
Aéré : bonne répartition des blancs entre les mots et entre les lignes et présence de marges et alinéas.
Alinéa : renforcement de la première ligne du texte, d’un paragraphe. Passage compris entre deux de ces lignes en retrait.
Aisé : geste graphique conduit sans heurt et sans difficulté.
Aligné : le tracé est aligné lorsque la tangente à la base des lettres est droite. Un tracé aligné peut être droit, ascendant ou descendant (il peut être sinueux s’il est régulier).
Anachronisme : confusion de date, attribution à une époque (ou date) de ce qui appartient à une autre époque ou date.
Angle (ou écriture anguleuse) : geste formant un angle au lieu d'une courbe. Accentuation des angles normaux ou/et remplacement des courbes normales par des angles.
Anguleuse : écriture présentant des angles à la place des courbes.
Annelé : graphisme formant des anneaux dans certaines lettres, particulièrement les "m" et les "n". Boucles présentes sur les verticales.
Apocryphe : se dit d’un texte ou d’une signature non authentique, douteuse ou suspecte (controversé, faux, inauthentique).
Appuyé : forte pression de l'écriture perceptible au toucher sur le revers.
Apraxique : forme particulière de certaines lettres (e, l, b, f, h, k) qui consiste en un ressaut entre l'attaque et la boucle. Sorte de rebond anguleux sur place avant de partir vers la droite ; geste de contrôle.
Arcade : forme classique des "m" et des "n".
Arrondi : dont les lettres rondes intérieures : a, o, d, etc. sont rondes au lieu d'être ovales. Écriture dans laquelle les courbes normales sont accentuées ou dont les angles normaux sont remplacés par des courbes.
Attaque (tracé d’…) : premier tracé ou trait dans la scription d’une lettre ou d’un chiffre.
Audition : fait, pour un juge d'entendre les personnes concernées par un procès.
Authentique (écriture, signature) : ne pouvant pas être mis en doute, car établi par un officier public. Signature ou écriture ne pouvant pas être mise en doute (par exemple les signatures figurant sur des papiers ou actes officiels) et servant de référence comme pièce de comparaison.
Auto forgerie : dissimulation à laquelle se livre un scripteur pour déformer son écriture afin de pouvoir dénier ultérieurement le document établi.
Autographe : qui est écrit de la propre main de quelqu’un. Lettre, manuscrit, autographe.
Autographie : procédé qui permet de reproduire par impression un écrit, un dessin.
Ataxie : incoordination des mouvements volontaires causée par une affection des centres nerveux.
Axe : trait imaginaire permettant de visualiser en verticale l'inclinaison de l'écriture et en horizontale sa direction.
Accolade : signe à double courbure servant à réunir plusieurs lignes (accolade verticale) ou colonne (accolade horizontale).
Acéré : trait final se terminant en pointe aiguë.
Acte authentique : document établi dans les formes requises par un officier public (notaire par exemple) dont les affirmations font foi.
Adjonction : en expertise de documents, interlinéation, ajout surcharge.
Aéré : bonne répartition des blancs entre les mots et entre les lignes et présence de marges et alinéas.
Alinéa : renforcement de la première ligne du texte, d’un paragraphe. Passage compris entre deux de ces lignes en retrait.
Aisé : geste graphique conduit sans heurt et sans difficulté.
Aligné : le tracé est aligné lorsque la tangente à la base des lettres est droite. Un tracé aligné peut être droit, ascendant ou descendant (il peut être sinueux s’il est régulier).
Anachronisme : confusion de date, attribution à une époque (ou date) de ce qui appartient à une autre époque ou date.
Angle (ou écriture anguleuse) : geste formant un angle au lieu d'une courbe. Accentuation des angles normaux ou/et remplacement des courbes normales par des angles.
Anguleuse : écriture présentant des angles à la place des courbes.
Annelé : graphisme formant des anneaux dans certaines lettres, particulièrement les "m" et les "n". Boucles présentes sur les verticales.
Apocryphe : se dit d’un texte ou d’une signature non authentique, douteuse ou suspecte (controversé, faux, inauthentique).
Appuyé : forte pression de l'écriture perceptible au toucher sur le revers.
Apraxique : forme particulière de certaines lettres (e, l, b, f, h, k) qui consiste en un ressaut entre l'attaque et la boucle. Sorte de rebond anguleux sur place avant de partir vers la droite ; geste de contrôle.
Arcade : forme classique des "m" et des "n".
Arrondi : dont les lettres rondes intérieures : a, o, d, etc. sont rondes au lieu d'être ovales. Écriture dans laquelle les courbes normales sont accentuées ou dont les angles normaux sont remplacés par des courbes.
Attaque (tracé d’…) : premier tracé ou trait dans la scription d’une lettre ou d’un chiffre.
Audition : fait, pour un juge d'entendre les personnes concernées par un procès.
Authentique (écriture, signature) : ne pouvant pas être mis en doute, car établi par un officier public. Signature ou écriture ne pouvant pas être mise en doute (par exemple les signatures figurant sur des papiers ou actes officiels) et servant de référence comme pièce de comparaison.
Auto forgerie : dissimulation à laquelle se livre un scripteur pour déformer son écriture afin de pouvoir dénier ultérieurement le document établi.
Autographe : qui est écrit de la propre main de quelqu’un. Lettre, manuscrit, autographe.
Autographie : procédé qui permet de reproduire par impression un écrit, un dessin.
Ataxie : incoordination des mouvements volontaires causée par une affection des centres nerveux.
Axe : trait imaginaire permettant de visualiser en verticale l'inclinaison de l'écriture et en horizontale sa direction.
B
Barre : trait horizontal du « t » minuscule ou des lettres majuscules.
Base : les hampes et les jambages dépassent à peine la zone médiane.
Bâtonné : pas de boucles dans les hampes et les jambages.
Bâtonnée : écriture dont les boucles des lettres à hampes et à jambages sont supprimées.
Blanc : tout espace non écrit de la page. Se dit en particulier lorsque l’écart entre les mots est excessif.
Blanc-seing : signature au bas d’une feuille blanche que le signataire confie à une personne pour qu’elle la remplisse elle-même.
Blanc-seing (abus de…) : utilisation, à des fins autres que celles qui sont prévues, d’un document qui porte une signature.
Boucle : enroulement en courbe dans une lettre ou dans un paraphe.
Brisure : interruption dans le trait constitutif des lettres.
Base : les hampes et les jambages dépassent à peine la zone médiane.
Bâtonné : pas de boucles dans les hampes et les jambages.
Bâtonnée : écriture dont les boucles des lettres à hampes et à jambages sont supprimées.
Blanc : tout espace non écrit de la page. Se dit en particulier lorsque l’écart entre les mots est excessif.
Blanc-seing : signature au bas d’une feuille blanche que le signataire confie à une personne pour qu’elle la remplisse elle-même.
Blanc-seing (abus de…) : utilisation, à des fins autres que celles qui sont prévues, d’un document qui porte une signature.
Boucle : enroulement en courbe dans une lettre ou dans un paraphe.
Brisure : interruption dans le trait constitutif des lettres.
C
Cabossé : galbe présentant de petits angles au lieu d’arrondis. Galbe imparfait, aspect bosselé.
Calibre : dimension, importance de la zone médiane.
Calligraphie : art de bien former les caractères d’écriture ; écriture formée selon cet art.
Calque : reproduction d’un dessin, obtenu par transparence.
Caviardage : mot ou groupe de mots recouverts d’un liquide masquant qui les rend illisibles.
Censure : suppression par découpage ou caviardage de mots, phrases ou paragraphes d’un texte écrit.
Centrifuge : dirigé vers la droite en montant ou en descendant.
Centripète : dirigé vers le bas ; dirigé vers le centre, geste qui revient vers la zone médiane.
Césure (coupure, arrêt) : en expertise en écriture, on parle de césure lorsqu’il y a coupure, arrêt ou absence de liaison, entre deux lettres dans une écriture cursive (levé de plume sans liaison réelle ou virtuelle entre les lettres).
Chevauchant : un tracé peut être chevauchant en montant ou en descendant. Dans ce type de tracé, les mots montent (ou descendent) sans que la ligne de base ne présente cette tendance. Les mots partent de la ligne de base et montent (ou descendent) par la suite.
Codicille : acte postérieur à un testament, le modifiant, le complétant ou l’annulant.
Collage : type de liaison avec levé de plume de 2 traits de direction différente. Arrêt de la liaison mais le levé de plume est dissimulé et se colle sur la lettre précédente. Les traits raccordés ont souvent une orientation différente.
Combiné : personnalisation du graphisme visant à plus d’efficacité et de rapidité. Liaisons simplifiées et originales.
Compacte : espace très réduit entre les mots et les lignes avec des marges souvent petites.
Comparaison : pièces authentiques qui servent de référence dans l’examen comparatif des écritures, des signatures et des documents.
Concave : lignes formant une courbure vers le bas.
Continuité : façon dont les lettres sont reliées entre elles.
Contradictoire : principe d’égalité et de loyauté entre les parties obligeant à soumettre tout élément à la connaissance des parties.
Contre expertise : expertise destinée à en contrôler une autre, ou expertise demandée à un autre spécialiste par la partie adverse.
Corps d’écriture : texte écrit sous la dictée reproduisant généralement la pièce de question et servant d’élément de comparaison.
Coup de fouet : mouvement d’une lettre ou d’un paraphe dont le tracé après s’être dirigé vers la droite prend son élan à l’arrière et se développe plus ou moins vers l’avant dans un geste de détente.
Cour : juridiction d’un ordre supérieur.
Cour d’Appel : juridiction du second degré qui examine une affaire qui a été soumise précédemment à un tribunal.
Cour de Cassation : juridiction suprême des juridictions de l’ordre judiciaire dont le rôle n’est pas de juger une affaire mais d’assurer le respect de l’exacte application des lois.
Crénelé : ovales des minuscules ouverts en haut.
Crochet : attaque ou finale d’une lettre ou d’un paraphe en angle aigu.
Croisé : geste revenant sur lui-même en le coupant.
Cunéiforme : appui vertical qui s’allège en forme de pointe.
Cursive : écriture dans laquelle les lettres sont liées entre elles (contrairement à une écriture en script où les lettres ne sont pas liées entre elles).
Calibre : dimension, importance de la zone médiane.
Calligraphie : art de bien former les caractères d’écriture ; écriture formée selon cet art.
Calque : reproduction d’un dessin, obtenu par transparence.
Caviardage : mot ou groupe de mots recouverts d’un liquide masquant qui les rend illisibles.
Censure : suppression par découpage ou caviardage de mots, phrases ou paragraphes d’un texte écrit.
Centrifuge : dirigé vers la droite en montant ou en descendant.
Centripète : dirigé vers le bas ; dirigé vers le centre, geste qui revient vers la zone médiane.
Césure (coupure, arrêt) : en expertise en écriture, on parle de césure lorsqu’il y a coupure, arrêt ou absence de liaison, entre deux lettres dans une écriture cursive (levé de plume sans liaison réelle ou virtuelle entre les lettres).
Chevauchant : un tracé peut être chevauchant en montant ou en descendant. Dans ce type de tracé, les mots montent (ou descendent) sans que la ligne de base ne présente cette tendance. Les mots partent de la ligne de base et montent (ou descendent) par la suite.
Codicille : acte postérieur à un testament, le modifiant, le complétant ou l’annulant.
Collage : type de liaison avec levé de plume de 2 traits de direction différente. Arrêt de la liaison mais le levé de plume est dissimulé et se colle sur la lettre précédente. Les traits raccordés ont souvent une orientation différente.
Combiné : personnalisation du graphisme visant à plus d’efficacité et de rapidité. Liaisons simplifiées et originales.
Compacte : espace très réduit entre les mots et les lignes avec des marges souvent petites.
Comparaison : pièces authentiques qui servent de référence dans l’examen comparatif des écritures, des signatures et des documents.
Concave : lignes formant une courbure vers le bas.
Continuité : façon dont les lettres sont reliées entre elles.
Contradictoire : principe d’égalité et de loyauté entre les parties obligeant à soumettre tout élément à la connaissance des parties.
Contre expertise : expertise destinée à en contrôler une autre, ou expertise demandée à un autre spécialiste par la partie adverse.
Corps d’écriture : texte écrit sous la dictée reproduisant généralement la pièce de question et servant d’élément de comparaison.
Coup de fouet : mouvement d’une lettre ou d’un paraphe dont le tracé après s’être dirigé vers la droite prend son élan à l’arrière et se développe plus ou moins vers l’avant dans un geste de détente.
Cour : juridiction d’un ordre supérieur.
Cour d’Appel : juridiction du second degré qui examine une affaire qui a été soumise précédemment à un tribunal.
Cour de Cassation : juridiction suprême des juridictions de l’ordre judiciaire dont le rôle n’est pas de juger une affaire mais d’assurer le respect de l’exacte application des lois.
Crénelé : ovales des minuscules ouverts en haut.
Crochet : attaque ou finale d’une lettre ou d’un paraphe en angle aigu.
Croisé : geste revenant sur lui-même en le coupant.
Cunéiforme : appui vertical qui s’allège en forme de pointe.
Cursive : écriture dans laquelle les lettres sont liées entre elles (contrairement à une écriture en script où les lettres ne sont pas liées entre elles).
D
Défendeur : personne contre laquelle est formée une demande en justice.
Délié : partie la plus mince d’une lettre, qui devrait se situer sur le geste ascendant.
Demandeur : personne qui présente une demande en justice et prend ainsi l’initiative du procès.
Dextrogyre : (synonyme de progressive) écriture dont les mouvements se dirigent préférentiellement vers la droite avec le minimum de retour à gauche. Dans le sens des aiguilles d’une montre.
Dilaté : forme agrandie en hauteur et largeur.
Direction : s’applique aux lignes d’un texte qui peuvent être soit horizontales, soit montantes, soit descendantes, soit concaves, soit convexes.
Dissemblance : différence importante.
Dodu : oves ronds au lieu d’être ovales. Les oves gagnent en largeur ce qu’ils devraient prendre en hauteur selon le modèle calligraphique enseigné.
Ductus : sens d’impulsion du tracé des lettres à oves. Sens de formation de la lettre.
Dysgraphie : trouble de l’organisation de l’écriture conduisant à certaines difformités graphiques (latérale et dyslexie).
Délié : partie la plus mince d’une lettre, qui devrait se situer sur le geste ascendant.
Demandeur : personne qui présente une demande en justice et prend ainsi l’initiative du procès.
Dextrogyre : (synonyme de progressive) écriture dont les mouvements se dirigent préférentiellement vers la droite avec le minimum de retour à gauche. Dans le sens des aiguilles d’une montre.
Dilaté : forme agrandie en hauteur et largeur.
Direction : s’applique aux lignes d’un texte qui peuvent être soit horizontales, soit montantes, soit descendantes, soit concaves, soit convexes.
Dissemblance : différence importante.
Dodu : oves ronds au lieu d’être ovales. Les oves gagnent en largeur ce qu’ils devraient prendre en hauteur selon le modèle calligraphique enseigné.
Ductus : sens d’impulsion du tracé des lettres à oves. Sens de formation de la lettre.
Dysgraphie : trouble de l’organisation de l’écriture conduisant à certaines difformités graphiques (latérale et dyslexie).
E
Emargement : apposition d’une mention, et plus particulièrement d’une signature ou d’un paraphe, en marge d’un acte, d’un compte.
Empattement : trait horizontal plus ou moins épais au pied et à la tête d’un jambage.
Enchevêtrement : confusion des hampes et des jambages avec les lignes supérieures et/ou inférieures.
Encre délébile : encre effaçable à l’eau.
Enroulé : geste courbe revenant sur lui-même.
Encre indélébile : encre résistant aux agents chimiques.
Epair : aspect du papier qu’on apprécie par transparence.
Espacé : le tracé est espacé lorsque l’intervalle entre les mots ainsi que l’intervalle entre les lignes sont grands, exagérés et les marges sont souvent très larges.
Etalé : les lettres de la zone médiane sont plus larges que hautes ; élargissement de la liaison inter-lettres. Liaison entre lettres plus grande que la largeur d’une lettre.
Etayage : geste qui repasse le long du trait précédent avant de se diriger vers la droite.
Etréci : resserrement de la base des lettres ou de la liaison inter-lettres.
Expertise judiciaire : mesure ordonnée par le juge ou le tribunal pouvant permettre la résolution d’un litige et consistant en un avis donné par un spécialiste de la matière concernée.
Empattement : trait horizontal plus ou moins épais au pied et à la tête d’un jambage.
Enchevêtrement : confusion des hampes et des jambages avec les lignes supérieures et/ou inférieures.
Encre délébile : encre effaçable à l’eau.
Enroulé : geste courbe revenant sur lui-même.
Encre indélébile : encre résistant aux agents chimiques.
Epair : aspect du papier qu’on apprécie par transparence.
Espacé : le tracé est espacé lorsque l’intervalle entre les mots ainsi que l’intervalle entre les lignes sont grands, exagérés et les marges sont souvent très larges.
Etalé : les lettres de la zone médiane sont plus larges que hautes ; élargissement de la liaison inter-lettres. Liaison entre lettres plus grande que la largeur d’une lettre.
Etayage : geste qui repasse le long du trait précédent avant de se diriger vers la droite.
Etréci : resserrement de la base des lettres ou de la liaison inter-lettres.
Expertise judiciaire : mesure ordonnée par le juge ou le tribunal pouvant permettre la résolution d’un litige et consistant en un avis donné par un spécialiste de la matière concernée.
F
Fac-similé : reproduction du document de question en vue de le faire compléter par la personne mise en cause, et servant de pièce de comparaison.
Faux :
– faux intégral : document entièrement fabriqué à partir de certains éléments du modèle, avec rajouts de détails inventés.
– faux partiel : modifications d’un document authentique par altérations partielles, addition, soustraction, substitution.
Filiforme : aplatissement des lettres de la zone médiane qui devient semblable à un fil. Les lettres intérieures des mots sont à peine formées et ressemblent à un fil (plus particulièrement sur les « m » et les « n »).
Filigrane : image ou sigle incorporé dans la masse du papier et visible par transparence.
Finale : fin du tracé d’une lettre, d’un mot ou d’une signature.
Fluctuante : écriture changeante, inconstante.
Fluorescence : émission de radiations débutant et cessant avec l’allumage et l’extinction de la source excitatrice ou activatrice. Luminescence d’une substance (solide, liquide ou gaz) due à une transition spontanée des molécules, d’un état excité vers l’état fondamental.
Forme : la calligraphie, la structure des lettres, les formes de liaisons et le geste type.
Foulage : appui du trait graphique dans le papier, sensible au verso de la feuille. Tracé en sillon laissé par l’appui de l’écriture visible au verso.
Faux :
– faux intégral : document entièrement fabriqué à partir de certains éléments du modèle, avec rajouts de détails inventés.
– faux partiel : modifications d’un document authentique par altérations partielles, addition, soustraction, substitution.
Filiforme : aplatissement des lettres de la zone médiane qui devient semblable à un fil. Les lettres intérieures des mots sont à peine formées et ressemblent à un fil (plus particulièrement sur les « m » et les « n »).
Filigrane : image ou sigle incorporé dans la masse du papier et visible par transparence.
Finale : fin du tracé d’une lettre, d’un mot ou d’une signature.
Fluctuante : écriture changeante, inconstante.
Fluorescence : émission de radiations débutant et cessant avec l’allumage et l’extinction de la source excitatrice ou activatrice. Luminescence d’une substance (solide, liquide ou gaz) due à une transition spontanée des molécules, d’un état excité vers l’état fondamental.
Forme : la calligraphie, la structure des lettres, les formes de liaisons et le geste type.
Foulage : appui du trait graphique dans le papier, sensible au verso de la feuille. Tracé en sillon laissé par l’appui de l’écriture visible au verso.
G
Galbe : arrondi des courbes.
Geste libre : c’est-à-dire moins réglementé par les lois de la calligraphie et la nécessité d’être lisible (les finales par exemple).
Gladiolé : diminution progressive de la hauteur des lettres ou des fins de mots.
Gonflée : exagération des courbes, des hampes, des jambages et des ovales.
Gramma : morceaux, parties (par exemple « d » tracé en 2 grammas).
Griffe : empreinte imitant une signature ; ce qui sert à faire cette empreinte. Portion de tracé entre un levé de plume et une courbe ou entre 2 courbes.
Grosse : copie d’un jugement ou d’un acte authentique revêtue de la formule exécutoire permettant de le faire exécuter.
Groupé : groupement de 2 ou 3 lettres.
Guirlande : dans le tracé en guirlande, la base des lettres (« m » et « n » en particulier) forme une courbe accentuée, parfois exagérée. Les lettres ont l’aspect d’une coupe concave (contraire : tracé à arcades).
Geste libre : c’est-à-dire moins réglementé par les lois de la calligraphie et la nécessité d’être lisible (les finales par exemple).
Gladiolé : diminution progressive de la hauteur des lettres ou des fins de mots.
Gonflée : exagération des courbes, des hampes, des jambages et des ovales.
Gramma : morceaux, parties (par exemple « d » tracé en 2 grammas).
Griffe : empreinte imitant une signature ; ce qui sert à faire cette empreinte. Portion de tracé entre un levé de plume et une courbe ou entre 2 courbes.
Grosse : copie d’un jugement ou d’un acte authentique revêtue de la formule exécutoire permettant de le faire exécuter.
Groupé : groupement de 2 ou 3 lettres.
Guirlande : dans le tracé en guirlande, la base des lettres (« m » et « n » en particulier) forme une courbe accentuée, parfois exagérée. Les lettres ont l’aspect d’une coupe concave (contraire : tracé à arcades).
H
Hampe : partie supérieure des 3 zones de l’écriture.
Hélice : forme de lettre en « hélice ».
Homogène : ensemble d’écritures ou de signatures présentant les mêmes caractéristiques dans le temps tout en tenant compte de l’évolution du graphisme, due à l’âge par exemple. Ecriture qui présente les mêmes caractéristiques d’un bout à l’autre du document y compris la signature, et d’un document à un autre.
Hélice : forme de lettre en « hélice ».
Homogène : ensemble d’écritures ou de signatures présentant les mêmes caractéristiques dans le temps tout en tenant compte de l’évolution du graphisme, due à l’âge par exemple. Ecriture qui présente les mêmes caractéristiques d’un bout à l’autre du document y compris la signature, et d’un document à un autre.
I
Idiotisme : originalité graphique à caractère personnel.
Illisible : écriture ou signature mal formée dont il n’est pas possible de lire le sens.
Imitation à main libre : l’auteur de ce type de signature s’exerce à reproduire de façon rapide et spontanée le modèle qu’il veut imiter. Lorsqu’il aura acquis l’habileté nécessaire, il sera en mesure de tracer une signature sans avoir besoin d’avoir le modèle sous les yeux.
Imitation servile : l’auteur d’une imitation servile reproduit aussi fidèlement que possible le modèle qu’il a sous les yeux. Il s’attarde donc beaucoup plus à l’aspect pictural en ne tient que très peu compte de la rapidité du geste, de la continuité du mouvement, de la spontanéité.
Imprécise : écriture difficilement lisible par ambiguïté de forme, complications excessives, inachèvement des lettres, mauvaise proportion et répartition des espaces.
Inclinée : écriture dont la direction est orientée vers la droite ; l’angle formé avec la ligne de base est aigu.
Initiale : 2 sens possibles :
– première lettre du prénom ou du nom
– première lettre d’un mot.
Interligne : espace entre 2 lignes d’écriture manuscrite, dactylographiée ou imprimée.
Intervalle :
– entre lignes : distance qui séparent les lignes entre elles ;
– entre mots : espace qui sépare les mots entre eux ;
– entre lettres : espace qui sépare les lettres entre elles.
Interversion : (phénomène d’…) la majuscule est mise à la place d’une minuscule et vice-versa.
Illisible : écriture ou signature mal formée dont il n’est pas possible de lire le sens.
Imitation à main libre : l’auteur de ce type de signature s’exerce à reproduire de façon rapide et spontanée le modèle qu’il veut imiter. Lorsqu’il aura acquis l’habileté nécessaire, il sera en mesure de tracer une signature sans avoir besoin d’avoir le modèle sous les yeux.
Imitation servile : l’auteur d’une imitation servile reproduit aussi fidèlement que possible le modèle qu’il a sous les yeux. Il s’attarde donc beaucoup plus à l’aspect pictural en ne tient que très peu compte de la rapidité du geste, de la continuité du mouvement, de la spontanéité.
Imprécise : écriture difficilement lisible par ambiguïté de forme, complications excessives, inachèvement des lettres, mauvaise proportion et répartition des espaces.
Inclinée : écriture dont la direction est orientée vers la droite ; l’angle formé avec la ligne de base est aigu.
Initiale : 2 sens possibles :
– première lettre du prénom ou du nom
– première lettre d’un mot.
Interligne : espace entre 2 lignes d’écriture manuscrite, dactylographiée ou imprimée.
Intervalle :
– entre lignes : distance qui séparent les lignes entre elles ;
– entre mots : espace qui sépare les mots entre eux ;
– entre lettres : espace qui sépare les lettres entre elles.
Interversion : (phénomène d’…) la majuscule est mise à la place d’une minuscule et vice-versa.
J
Jambage : partie inférieure des 3 zones de l’écriture. Lettre qui se prolonge au-dessous de la zone médiane ; également parties verticales du « m » et du « n ».
Jointoiement : trait qui repasse sous l’ove et le verrouille. – Ove des lettres fermé par une boucle régressive. – Ove verrouillé par des enroulements et œilletons.
Jugement avant dire droit : jugement qui intervient dans le cadre d’une procédure sans statuer sur le fond, par exemple, pour ordonner une expertise.
Jugement contradictoire : jugement rendu à l’issue d’une procédure au cours de laquelle les parties ont comparu et fait valoir leurs moyens de défense.
Juxtaposé : lettres posées les unes à côté des autres sans liaison apparente. Ecriture dont toutes les lettres sont séparées les unes des autres.
Jointoiement : trait qui repasse sous l’ove et le verrouille. – Ove des lettres fermé par une boucle régressive. – Ove verrouillé par des enroulements et œilletons.
Jugement avant dire droit : jugement qui intervient dans le cadre d’une procédure sans statuer sur le fond, par exemple, pour ordonner une expertise.
Jugement contradictoire : jugement rendu à l’issue d’une procédure au cours de laquelle les parties ont comparu et fait valoir leurs moyens de défense.
Juxtaposé : lettres posées les unes à côté des autres sans liaison apparente. Ecriture dont toutes les lettres sont séparées les unes des autres.
K
L
Lancement : trait vivement projeté hors des limites que respecte le reste du mot.
Laps de cohésion : un intervalle fait irruption de façon un peu anarchique séparant inopinément une lettre des autres à l’intérieur du mot. Espace (blanc) important à l’intérieur d’un mot.
Lasso : tracé en volutes, boucles entrelacées ; principalement dans les majuscules, la signature, les barres de « t ».
Légère : faible appui de l’instrument sur le support, ne laissant pas de trace au verso.
Levé de plume : interruption du graphisme par arrêt de contact de l’instrument scripteur avec le support.
Liaisons : tous les tracés servant à relier les lettres entre elles, visibles ou parfois dans l’espace.
Liaison en méandres : la finale ne va pas directement à la lettre suivante, mais fait un détour sur la ligne de base.
Libellé : termes dans lesquels un acte, et plus spécifiquement un acte officiel, est rédigé.
Liée : écriture dont les mots sont tracés sans levé de plume ou peu.
Ligne de base : ligne théorique sur laquelle « repose » l’écriture ; elle peut être horizontale, montante, descendante, concave, convexe, sinueuse… (Ligne imaginaire horizontale sur laquelle s’appuie l’écriture).
Litige : différend, désaccord entre parties.
Litigieux : document contesté, dit « de question ».
Lumière rasante : technique d’observation qui consiste à éclairer le document à examiner avec une faible lumière placée sous un angle très faible.
Luminescence : émission de lumière par un corps non incandescent, déterminée par une radiation lumineuse excitatrice.
Laps de cohésion : un intervalle fait irruption de façon un peu anarchique séparant inopinément une lettre des autres à l’intérieur du mot. Espace (blanc) important à l’intérieur d’un mot.
Lasso : tracé en volutes, boucles entrelacées ; principalement dans les majuscules, la signature, les barres de « t ».
Légère : faible appui de l’instrument sur le support, ne laissant pas de trace au verso.
Levé de plume : interruption du graphisme par arrêt de contact de l’instrument scripteur avec le support.
Liaisons : tous les tracés servant à relier les lettres entre elles, visibles ou parfois dans l’espace.
Liaison en méandres : la finale ne va pas directement à la lettre suivante, mais fait un détour sur la ligne de base.
Libellé : termes dans lesquels un acte, et plus spécifiquement un acte officiel, est rédigé.
Liée : écriture dont les mots sont tracés sans levé de plume ou peu.
Ligne de base : ligne théorique sur laquelle « repose » l’écriture ; elle peut être horizontale, montante, descendante, concave, convexe, sinueuse… (Ligne imaginaire horizontale sur laquelle s’appuie l’écriture).
Litige : différend, désaccord entre parties.
Litigieux : document contesté, dit « de question ».
Lumière rasante : technique d’observation qui consiste à éclairer le document à examiner avec une faible lumière placée sous un angle très faible.
Luminescence : émission de lumière par un corps non incandescent, déterminée par une radiation lumineuse excitatrice.
M
Main guidée : écrit (généralement testament) par une personne dont la main a été tenue par un tiers.
Maladresses graphiques : signes de difficultés, volontaires ou non, nuisant à l’aisance et au bon déroulement du geste.
Massuée : les finales des lettres ou les mots, les barres des "t", les accents et les différents traits se terminent en trait épaissi. (contraire : acéré). Finales et barres de "t" qui se terminent par un trait épaissi par une brusque pression de l’instrument scripteur. Peut également s’appliquer aux attaques.
Marge : espace non écrit qui entoure un texte : marge du haut, du bas, de droite, de gauche.
Marge progressive : s’élargissant de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée du texte.
Marge régressive : se réduisant de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée du texte.
Miroir : (écriture en… ou écriture spéculaire) écriture renversée où les lettres et les mots se suivent de droite à gauche comme si l’écriture normale était réfléchie dans un miroir.
Mission : tâches que doit accomplir l’expert selon une procédure définie.
Molle : écriture au trait lâche, sans vigueur ni pression avec parfois des jambages pendants.
Mouvementée : écriture vive, plus ou moins amplifiée sur l’ensemble du tracé avec une certaine fantaisie de mouvement.
Maladresses graphiques : signes de difficultés, volontaires ou non, nuisant à l’aisance et au bon déroulement du geste.
Massuée : les finales des lettres ou les mots, les barres des "t", les accents et les différents traits se terminent en trait épaissi. (contraire : acéré). Finales et barres de "t" qui se terminent par un trait épaissi par une brusque pression de l’instrument scripteur. Peut également s’appliquer aux attaques.
Marge : espace non écrit qui entoure un texte : marge du haut, du bas, de droite, de gauche.
Marge progressive : s’élargissant de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée du texte.
Marge régressive : se réduisant de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée du texte.
Miroir : (écriture en… ou écriture spéculaire) écriture renversée où les lettres et les mots se suivent de droite à gauche comme si l’écriture normale était réfléchie dans un miroir.
Mission : tâches que doit accomplir l’expert selon une procédure définie.
Molle : écriture au trait lâche, sans vigueur ni pression avec parfois des jambages pendants.
Mouvementée : écriture vive, plus ou moins amplifiée sur l’ensemble du tracé avec une certaine fantaisie de mouvement.
N
Négligée : écriture manquant de soin, lettres informes ou supprimées, graphisme mou, sans tenue, ponctuation, barre de « t » omises.
Niveau graphique : degré d’évolution de l’écriture.
Nourri : trait bien encré.
Niveau graphique : degré d’évolution de l’écriture.
Nourri : trait bien encré.
O
Œilleton : bouclette de liaison des lettres à oves et des « e » minuscules.
Olographe : testament écrit et signé en entier de la main du testateur.
Opisthographe : (document…) se dit d’un document écrit au recto et au verso.
Ordonnance : disposition du texte sur un support.
Ordonnée : écriture qui respecte les règles calligraphiques : marges droite, gauche, haut, bas ; alinéas, intervalles entre lignes marqués ; précision des accents et barres de « t ».
Original : pièce d’origine excluant toute copie et dont l’absence entraîne obligatoirement des réserves sur les analyses et conclusions d’expertise, si ce n’est de les empêcher complètement.
Orné : le tracé orné est caractérisé par la présence de fioritures plus ou moins spiralées et entrecroisées.
Oscillante : écriture dont la direction, dans un même document est changeante ; tantôt inclinée, tantôt verticale, tantôt renversée parfois même à l’intérieur d’un même mot.
Ovalisé : ovale en forme d’ellipse qui s’étire sur l’horizontale. Ovales aplatis dans le sens de la hauteur.
Ove : forme des lettres circulaires ou ovales.
Ovoïde : en forme d’œuf debout. Oves dont la forme est bien développée.
Olographe : testament écrit et signé en entier de la main du testateur.
Opisthographe : (document…) se dit d’un document écrit au recto et au verso.
Ordonnance : disposition du texte sur un support.
Ordonnée : écriture qui respecte les règles calligraphiques : marges droite, gauche, haut, bas ; alinéas, intervalles entre lignes marqués ; précision des accents et barres de « t ».
Original : pièce d’origine excluant toute copie et dont l’absence entraîne obligatoirement des réserves sur les analyses et conclusions d’expertise, si ce n’est de les empêcher complètement.
Orné : le tracé orné est caractérisé par la présence de fioritures plus ou moins spiralées et entrecroisées.
Oscillante : écriture dont la direction, dans un même document est changeante ; tantôt inclinée, tantôt verticale, tantôt renversée parfois même à l’intérieur d’un même mot.
Ovalisé : ovale en forme d’ellipse qui s’étire sur l’horizontale. Ovales aplatis dans le sens de la hauteur.
Ove : forme des lettres circulaires ou ovales.
Ovoïde : en forme d’œuf debout. Oves dont la forme est bien développée.
P
Panse : partie courbe d’une lettre.
Paraphe : deux sens possibles qui peuvent être la source de malentendus :
– signature abrégée comme sur un acte notarié,
– trait ou dessin final d’une signature.
(Traits de différentes formes que l’on ajoute à la signature et par extension signature abrégée).
Personnalisation : formes personnelles d’une écriture qui se différencient de la calligraphie.
Phosphorescence : émission de radiations se poursuivant après extinction de la source excitatrice.
Piétement : petit trait horizontal situé à la base d’une lettre ou d’un chiffre.
Plateau : partie supérieure de certaines lettres comme le « r ».
Plein : partie la plus épaisse d’une lettre, qui devrait se situer sur le geste descendant.
Pochage : stagnation d’encre dans les œilletons (oves noircis). Œilletons des oves remplis d’encre.
Pointée : signature se terminant par un point.
Polymorphie : formes variées pour une même lettre.
Ponctuée : texte parsemé de points inutiles entre les mots parfois entre les lettres.
Posée : écriture dont la vitesse est contrôlée.
Pression : force de l’appui de la main sur le support.
Prise d’espace : positionnement d’une signature, d’un texte ou d’une adresse par rapport au support. Manière d’agencer un texte sur le support.
Procureur Général : magistrat qui est le chef du parquet auprès d’une cour d’appel ou de la cour de cassation.
Procureur de la République : magistrat qui est le chef du parquet auprès d’un tribunal de grande instance.
Progressif : écriture orientée préférentiellement vers la droite, avec le minimum de retours à gauche (s’apparente à dextrogyre).
Prolongé : hampe ou jambage trop long par rapport à la dimension de la zone médiane (prolongé haut, prolongé bas).
Protéiforme : écriture qui change souvent et profondément de forme. Nombreuses variantes dans la forme d’une même lettre dans un même écrit.
Paraphe : deux sens possibles qui peuvent être la source de malentendus :
– signature abrégée comme sur un acte notarié,
– trait ou dessin final d’une signature.
(Traits de différentes formes que l’on ajoute à la signature et par extension signature abrégée).
Personnalisation : formes personnelles d’une écriture qui se différencient de la calligraphie.
Phosphorescence : émission de radiations se poursuivant après extinction de la source excitatrice.
Piétement : petit trait horizontal situé à la base d’une lettre ou d’un chiffre.
Plateau : partie supérieure de certaines lettres comme le « r ».
Plein : partie la plus épaisse d’une lettre, qui devrait se situer sur le geste descendant.
Pochage : stagnation d’encre dans les œilletons (oves noircis). Œilletons des oves remplis d’encre.
Pointée : signature se terminant par un point.
Polymorphie : formes variées pour une même lettre.
Ponctuée : texte parsemé de points inutiles entre les mots parfois entre les lettres.
Posée : écriture dont la vitesse est contrôlée.
Pression : force de l’appui de la main sur le support.
Prise d’espace : positionnement d’une signature, d’un texte ou d’une adresse par rapport au support. Manière d’agencer un texte sur le support.
Procureur Général : magistrat qui est le chef du parquet auprès d’une cour d’appel ou de la cour de cassation.
Procureur de la République : magistrat qui est le chef du parquet auprès d’un tribunal de grande instance.
Progressif : écriture orientée préférentiellement vers la droite, avec le minimum de retours à gauche (s’apparente à dextrogyre).
Prolongé : hampe ou jambage trop long par rapport à la dimension de la zone médiane (prolongé haut, prolongé bas).
Protéiforme : écriture qui change souvent et profondément de forme. Nombreuses variantes dans la forme d’une même lettre dans un même écrit.
Q
Question (pièce ou document de) : original d’un document soumis à expertise, encore appelé litigieux ou contesté.
R
Rapide : avancée sans contrainte de l’écriture qui reste lisible malgré la vitesse.
Rebours (à) : direction de certaines lettres à l’inverse du modèle calligraphique.
Récépissé : écrit par lequel on reconnaît avoir reçu des pièces, des objets, de l’argent.
Régressif : direction du tracé allant préférentiellement vers la gauche.
Relief : alternance des pleins et des déliés.
Renversé : inclinaison de l’écriture vers la gauche.
Repentir : rectification ou modification apportée à une œuvre ou une signature après son achèvement pour rectifier un contour.
Reprise : liaisons de type enfantin par collage ou soudure ou geste repris suivant des arrêts et levés de plume ou des retouches. Arrêt dans le tracé, puis reprise.
Réserves d’usage : entraînées quand l’analyse n’a pu se faire qu’à partir de pièces en copie ou réduites.
Retouche : geste repris. Surcharge sous forme d’addition de parties de lettres, de lettres, de mots ou d’accents, ou suppression par raturage ou grattage.
Rythme : respiration personnelle du tracé.
Rebours (à) : direction de certaines lettres à l’inverse du modèle calligraphique.
Récépissé : écrit par lequel on reconnaît avoir reçu des pièces, des objets, de l’argent.
Régressif : direction du tracé allant préférentiellement vers la gauche.
Relief : alternance des pleins et des déliés.
Renversé : inclinaison de l’écriture vers la gauche.
Repentir : rectification ou modification apportée à une œuvre ou une signature après son achèvement pour rectifier un contour.
Reprise : liaisons de type enfantin par collage ou soudure ou geste repris suivant des arrêts et levés de plume ou des retouches. Arrêt dans le tracé, puis reprise.
Réserves d’usage : entraînées quand l’analyse n’a pu se faire qu’à partir de pièces en copie ou réduites.
Retouche : geste repris. Surcharge sous forme d’addition de parties de lettres, de lettres, de mots ou d’accents, ou suppression par raturage ou grattage.
Rythme : respiration personnelle du tracé.
S
Saccade : geste heurté parce que mal maîtrisé qui procède par à-coups et produit une liaison en angle au lieu de la courbe. Changement brusque de forme, de direction, de dimension dans le tracé, comme des soubresauts.
Sceau : cachet, étampe, marque, empreinte.
Scellés : ruban de tissu et tampons de cire appliqués par le juge d’instance ou un greffier sur les pièces à examiner. Mesure ordonnée en matière pénale afin de conserver les pièces à conviction à la disposition de la justice.
Script : type d’écriture à la main, proche des caractères d’imprimerie. Imprimerie : caractères typographiques imitant l’écriture.
Seing : signature – Seing privé : signature d’un acte non enregistré devant notaire.
Sigle : une ou plusieurs initiales remplaçant un ou des mots.
Signataire : personne, autorité qui a signé (un document, un acte, un traité, etc.).
Signature abstraite : signature dans laquelle n’est pas représenté le nom du signataire.
Signature à deux étages : signatures tracée sur 2 lignes ; souvent le prénom et le nom.
Signature pointée : signature terminée par un point.
Significatif : devant être pris en considération d’une ressemblance ou d’une différence typique.
Sillon : appui excessif de l’instrument scripteur sur le support qui ressort au verso.
Sillon sous jacent : trace laissée sur une feuille se trouvant sous le document rédigé et laissant apparaître plus ou moins le texte.
Similitude : ressemblance pouvant être plus ou moins significative selon le contexte ou le particularisme. Ressemblance, conformité entre certaines particularités d’un texte ou document, avec un autre.
Sinistrogyre : écriture à base de gestes retournant préférentiellement vers la gauche, ou accentuant nettement certaines parties de lettres vers la gauche, alors que la calligraphie n’y conduit pas.
Sinueuse : se dit des lignes qui ondulent sur l’axe horizontal.
Soigné : on parle de tracé soigné lorsque l’aménagement des détails du graphisme est poussé jusqu’à la minutie. (contraire : tracé négligé).
Soudure : raccord maladroit entre les lettres, mais allant dans la même direction ; le point de jonction est épaissi. Type de liaison entre deux traits de même sens.
Spasmodique : pression très irrégulière.
Spécimen : échantillon d’écriture.
Spontané : tracé libre, naturel, affranchi de toute contrainte. La spontanéité est en générale absente des faux.
Stase : en écriture, cela désigne un allègement, voire une interruption du trait provoqué par une diminution ou un arrêt de l’alimentation en encre, notamment du stylo à bille. Le phénomène inverse est l’empâtement qui résulte d’une arrivée trop abondante d’encre.
Substitut : magistrat adjoint au procureur de la République.
Surcharge : mot écrit au-dessus d’un autre raturé. Inscription imprimée en recouvrant une autre, et ajoutée après coup.
Surélevé : le tracé surélevé est caractérisé par l’allongement anormal de certains éléments (majuscules, jambages) au-dessus de la ligne de base.
Suspendu : le geste s’arrête dans sa progression sur la droite. Lettres qui restent en suspens au-dessus de la ligne.
Sceau : cachet, étampe, marque, empreinte.
Scellés : ruban de tissu et tampons de cire appliqués par le juge d’instance ou un greffier sur les pièces à examiner. Mesure ordonnée en matière pénale afin de conserver les pièces à conviction à la disposition de la justice.
Script : type d’écriture à la main, proche des caractères d’imprimerie. Imprimerie : caractères typographiques imitant l’écriture.
Seing : signature – Seing privé : signature d’un acte non enregistré devant notaire.
Sigle : une ou plusieurs initiales remplaçant un ou des mots.
Signataire : personne, autorité qui a signé (un document, un acte, un traité, etc.).
Signature abstraite : signature dans laquelle n’est pas représenté le nom du signataire.
Signature à deux étages : signatures tracée sur 2 lignes ; souvent le prénom et le nom.
Signature pointée : signature terminée par un point.
Significatif : devant être pris en considération d’une ressemblance ou d’une différence typique.
Sillon : appui excessif de l’instrument scripteur sur le support qui ressort au verso.
Sillon sous jacent : trace laissée sur une feuille se trouvant sous le document rédigé et laissant apparaître plus ou moins le texte.
Similitude : ressemblance pouvant être plus ou moins significative selon le contexte ou le particularisme. Ressemblance, conformité entre certaines particularités d’un texte ou document, avec un autre.
Sinistrogyre : écriture à base de gestes retournant préférentiellement vers la gauche, ou accentuant nettement certaines parties de lettres vers la gauche, alors que la calligraphie n’y conduit pas.
Sinueuse : se dit des lignes qui ondulent sur l’axe horizontal.
Soigné : on parle de tracé soigné lorsque l’aménagement des détails du graphisme est poussé jusqu’à la minutie. (contraire : tracé négligé).
Soudure : raccord maladroit entre les lettres, mais allant dans la même direction ; le point de jonction est épaissi. Type de liaison entre deux traits de même sens.
Spasmodique : pression très irrégulière.
Spécimen : échantillon d’écriture.
Spontané : tracé libre, naturel, affranchi de toute contrainte. La spontanéité est en générale absente des faux.
Stase : en écriture, cela désigne un allègement, voire une interruption du trait provoqué par une diminution ou un arrêt de l’alimentation en encre, notamment du stylo à bille. Le phénomène inverse est l’empâtement qui résulte d’une arrivée trop abondante d’encre.
Substitut : magistrat adjoint au procureur de la République.
Surcharge : mot écrit au-dessus d’un autre raturé. Inscription imprimée en recouvrant une autre, et ajoutée après coup.
Surélevé : le tracé surélevé est caractérisé par l’allongement anormal de certains éléments (majuscules, jambages) au-dessus de la ligne de base.
Suspendu : le geste s’arrête dans sa progression sur la droite. Lettres qui restent en suspens au-dessus de la ligne.
T
Tangente verbale : ligne au sommet des lettres en zone médiane. Celle-ci peut être droite, ascendante, descendante, sinueuse, irrégulière.
Télescopage : lettres qui se cognent (par manque de progression vers la droite). Lettres tracées par à-coups et qui se heurtent.
Testament : écrit par lequel une personne (le testateur) décide de son vivant de ce qu’il adviendra de ses biens après son décès. Cet acte est révocable.
Testament olographe : rédigé, daté et signé entièrement de la main du testateur.
Testament authentique : reçu par un notaire et signé par le testateur, le notaire et 2 témoins.
Timbre humide : empreinte obtenue à partir d’une surface de caoutchouc ou de matière synthétique enduite d’encre.
Timbre sec : empreinte gaufrée obtenue au moyen d’une matrice gravée.
Torsions : traits tordus au lieu d’être droits. Déviation dans la trajectoire verticale, souvent dans les hampes bouclées. Inflexion des hampes et des jambages.
Tracé d’attaque : le tracé d’attaque d’une lettre est le trait initial (ex : court, long, appuyé sur la ligne d’écriture, arrondi, convexe, concave, rigide, attaque d’un ove à « 2 heures », etc.).
Tracé final : le tracé final termine la lettre (court, long, droit, ascendant, descendant, arrondi, sinistrogyre, terminaison brusque à la ligne, et). La finale peut être normale, acérée, massuée.
Traînassement : levé de plume difficile et sans agilité ; la pointe de la bille piétine sur le papier.
Trait : le trait de plume présente les éléments constitutifs du tracé : « c’est la coulé d’encre déposée sur le papier ». N’importe quel parcours réalisé par la plume en un seul élan.
Tremblement : oscillations dans le tracé des lettres.
Troué : blancs importants à l’intérieur d’un mot.
Typographique : écriture imitant la typographie.
Télescopage : lettres qui se cognent (par manque de progression vers la droite). Lettres tracées par à-coups et qui se heurtent.
Testament : écrit par lequel une personne (le testateur) décide de son vivant de ce qu’il adviendra de ses biens après son décès. Cet acte est révocable.
Testament olographe : rédigé, daté et signé entièrement de la main du testateur.
Testament authentique : reçu par un notaire et signé par le testateur, le notaire et 2 témoins.
Timbre humide : empreinte obtenue à partir d’une surface de caoutchouc ou de matière synthétique enduite d’encre.
Timbre sec : empreinte gaufrée obtenue au moyen d’une matrice gravée.
Torsions : traits tordus au lieu d’être droits. Déviation dans la trajectoire verticale, souvent dans les hampes bouclées. Inflexion des hampes et des jambages.
Tracé d’attaque : le tracé d’attaque d’une lettre est le trait initial (ex : court, long, appuyé sur la ligne d’écriture, arrondi, convexe, concave, rigide, attaque d’un ove à « 2 heures », etc.).
Tracé final : le tracé final termine la lettre (court, long, droit, ascendant, descendant, arrondi, sinistrogyre, terminaison brusque à la ligne, et). La finale peut être normale, acérée, massuée.
Traînassement : levé de plume difficile et sans agilité ; la pointe de la bille piétine sur le papier.
Trait : le trait de plume présente les éléments constitutifs du tracé : « c’est la coulé d’encre déposée sur le papier ». N’importe quel parcours réalisé par la plume en un seul élan.
Tremblement : oscillations dans le tracé des lettres.
Troué : blancs importants à l’intérieur d’un mot.
Typographique : écriture imitant la typographie.
U
V
Vacillant : trait peu ferme et mal tenu.
Variations (graphiques) : fluctuations normales dans l’écriture d’un scripteur.
Verticale : écriture perpendiculaire à la ligne de base, formant un angle de 90°.
Vitesse : rapidité de l’écriture (difficile à évaluer, sauf a contrario par les signes de ralentissement).
Variations (graphiques) : fluctuations normales dans l’écriture d’un scripteur.
Verticale : écriture perpendiculaire à la ligne de base, formant un angle de 90°.
Vitesse : rapidité de l’écriture (difficile à évaluer, sauf a contrario par les signes de ralentissement).
W
X
Y
Z
Zone médiane : partie centrale des trois zones de l’écriture. Concerne les lettres qui n’ont ni hampe, ni jambage.